Boursault n’étoit rien moins que méprisable : s’il ignoroit le Latin, il possédoit très-bien sa langue. […] Louis XIV en fut si content, qu’il le nomma sous-précepteur de Monseigneur : mais l’ignorance d’une langue nécessaire pour ce poste l’empêcha de le remplir. […] Cotin avoit cependant une espèce de mérite : il sçavoit les langues ; il étoit de l’académie Françoise.