La langue d’oc, la langue d’oïl, sur les grand-routes, aux fêtes des bourgades, devant les chapelles, aux tentes des camps, aux poternes des châteaux, gazouillent des cantilènes. […] Qu’advenait-il d’elle dans les pays de langue d’oïl ? […] La langue savante se francisait en langue commune. […] Mais celui-ci déjà parle une langue sûre et pure. […] De l’art, nul soupçon ; de la langue, du rythme, nul souci.