De la langue Françoise. […] La dernière dispute sur le stile regarde cette question, s’il ne seroit pas convenable, nécessaire même, de fixer une langue vivante comme les langues mortes. […] Il prétend qu’on ne peut, ni qu’on ne doit fixer cette langue. […] Cette langue n’a presque point changé depuis Pétrarque ; elle a plutôt acquis qu’elle ne s’est appauvrie. […] Fixer la Grammaire, ce n’est pas la même chose que fixer la langue.