Il lui soutenait que l’italien n’était pas une langue ; elle le réfutait, elle épuisait les raisons : il ne se rendait pas. […] C’était une mauvaise langue et un bon cœur que Béranger.
Il lui soutenait que l’italien n’était pas une langue ; elle le réfutait, elle épuisait les raisons : il ne se rendait pas. […] C’était une mauvaise langue et un bon cœur que Béranger.