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927. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « M. Léon Aubineau. La Vie du bienheureux mendiant et pèlerin Benoît-Joseph Labre » pp. 361-375

Quand il s’arrêtait aux Églises, il s’y reposait de ses longs chemins sur les genoux devant le sanctuaire, les bras en croix, insensible à tout, aux plus affreuses fatigues, à la douleur, à la faim, imperméable à la création tout entière, lui qui n’était plus qu’une âme et qu’on eût pu appeler, dans nos langages de la terre : le cataleptique de l’amour de Dieu !

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