Quant au chevalier, c’est un frère d’Antony et de tous ces sombres héros modernes de la scène et du roman ; il a dès l’abord une vraie mine funèbre, un langage d’après Werther ; le duc de Richelieu et lui ne sont pas du tout contemporains. […] L’accent de la grande actrice ne sauve pas toujours certaines ingénuités un peu maniérées dans le langage.