Monsieur le juge et monsieur le prêtre, je vous en prie, laissez-moi en paix ! […] Proudhon ne paraît pas le plus fort, et se laisse cogner. […] D’autres sont trop individuels pour être suivis, on les laisse seuls. […] Suis-je un naïf qui se laisse prendre à de belles paroles ? […] … pas davantage… Je vous le laisse à deviner.