Et les livres qu’il a laissés l’attestent, ces livres qui vont répondre à ceux qui ont fait de Gérard de Nerval ce que réellement il n’était pas. […] Gérard de Nerval, comme Edgar Poe, aimait les livres singuliers, bizarres, biscornus même à force de bizarrerie, les livres qui troublent l’entendement plus qu’ils ne l’éclairent, et qu’une raison forte laissera toujours à ses pieds.