Voilà donc ce féroce ennemi des rois, vivant de leurs débris et de leurs secours : un roi de France lui donne la vie, un roi d’Angleterre lui laisse ravir sa femme ; quelle logique ! […] Je pouvais laisser cette circonstance dans les ténèbres où elle était ensevelie. […] Le 18 août il part avec la comtesse, sans avoir eu le temps de pourvoir à tout ce qu’il laisse à Paris. […] Chaque nuit on pouvait venir me chercher ; mais j’avais pris toutes mes mesures pour ne me laisser ni surprendre ni maltraiter. […] Toutefois laissons-lui cet honneur contesté, car c’est par lui qu’il est encore quelque chose.