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358. (1926) La poésie de Stéphane Mallarmé. Étude littéraire

Mais l’esprit de Mallarmé, en dehors de l’une comme de l’autre, paraît apte à formuler des raisons surtout mystiques. […] Toutes deux s’impliquent et s’appellent : l’une achevée ou plutôt entreprise, il faut la quitter pour le travail opposé. […] Il n’a été jusqu’au bout ni de l’une ni de l’autre voie. […] La voix du poète va se placer à l’intérieur […] nous pour s’épanouir par nous, avec nous, et c’est […] que l’une des deux ailes du lyrisme est musique. […] S’évader à l’excès de l’une, c’est rompre les liens de la synthèse et une harmonie de la vie.

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