Sur l’une des caisses d’envoi à l’adresse du Très-Saint-Père, Galiani avait eu soin d’écrire ces mots de l’Évangile : « Fais que ces pierres deviennent des pains : Fac ut lapides isti panes fiant. […] Son vrai titre littéraire aujourd’hui pour nous, sa Correspondance avec Mme d’Épinay, a été publiée en deux volumes, et les deux éditions de cette Correspondance qui parurent à la fois et concurremment en 1818, l’une d’après une copie, l’autre d’après les originaux, sont également défectueuses, au point de compromettre l’agrément de la lecture. On ne saurait imaginer les inexactitudes de mots, les altérations de sens, les inepties pour tout dire, qui se sont glissées dans le texte de l’une et de l’autre de ces éditions : il serait difficile de les distinguer à cet égard.