« Le corps d’un athlète et l’âme d’un sage » ; c’est ainsi que le définissait plus tard Voltaire aux heures de justice et d’équité. […] Il aime l’ordre, il en met partout. » Avec cette justice parfaite et cette bonté qui dérivait de la règle et du tempérament, il ne cessa de faire du bien dans ses alentours, et les gens de Montbard l’adoraient.