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265. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Maurice de Guérin »

Malgré son talent, à qui j’ai rendu souvent et dernièrement encore justice, Sainte-Beuve n’est pas constitué pour faire grand bruit. […] Quoiqu’il ait le sens critique beaucoup trop fin et trop exercé pour ne pas sentir les beautés et les suavités de toutes sortes qui sont dans Guérin, il n’a pas l’enthousiasme qu’il faudrait, l’éclat et la portée de voix, la souveraineté dans la parole, qui peuvent exiger l’admiration comme une justice et la décider du même coup.

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