. — La beauté, dira-t-on, est objective ; elle consiste dans un certain nombre de qualités qui se perçoivent immédiatement, ou dont nous pouvons juger par l’intelligence ; nous ne sommes pas libres de les attribuer ou non à l’objet, elles se constatent, on peut démontrer leur réalité, et tout appréciateur compétent et de bonne foi devra la reconnaître. […] « Pendant que j’écris, dit F. de Curel, je ne suis pas absorbé du tout, mes personnages parlent pour leur compte, je ne suis là que pour juger les choses de style, de scénario, de convenances, etc.