. — Athalie (suite) I Nous disions, à la fin du dernier de ces Entretiens, que, pour bien juger d’une œuvre dramatique, il ne suffisait pas de la lire (chose en général ingrate, souvent fastidieuse, toujours incomplète), mais qu’il fallait assister, en corps et en âme, à sa représentation. […] Une famille illustre par le génie autant que par la naissance m’avait jugé digne de contempler un tel spectacle, pour me donner l’émulation d’une gloire dont elle avait, dans sa bienveillance, le pressentiment pour ma jeunesse. […] Jugez-en !