Il avait un goût vif pour les lettres ; il prit grand plaisir de bonne heure à voir les représentations de celui qu’il appelait « le grand Lope de Rueda », batteur d’or de son métier, fameux acteur et auteur de pastorales qui se jouaient avec une extrême simplicité sur des tréteaux. […] Je composai dans ce temps jusqu’à vingt ou trente comédies, qui toutes furent jouées sans qu’on leur jetât des concombres ou autres projectiles.