Saint-Just bientôt va jouer au Caton et au Lycurgue ; mais, à l’exemple de tous les réformateurs de la fin du xviiie siècle, ce Lycurgue a été contemporain de De Sade, et on le sent d’abord. […] Il a, pour exprimer des choses assez simples, de ces expressions denses, de ces formules qui se retiennent aisément et qui jouent la profondeur. […] Biot s’est demandé lui-même : Était-ce bien Saint-Just, le terrible Saint-Just, qui joua ce rôle de bienfaiteur inconnu ?