Je n’aime point qu’une femme se tortille dans des mots comme celui-ci : « Je monte à cheval pour me faire peur », ou qu’elle joue à la froideur — cette fureur des hypocrites ou ce cynisme des impuissantes !
Je n’aime point qu’une femme se tortille dans des mots comme celui-ci : « Je monte à cheval pour me faire peur », ou qu’elle joue à la froideur — cette fureur des hypocrites ou ce cynisme des impuissantes !