Alors, Beethoven s’assit au piano et joua quelques mesures d’un de ses adagios. […] Mais Siegfried joue mal de la flûte, et se met alors à souffler dans sa corne. […] La vie et l’art lui pèsent lorsqu’il ne trouve pas à se jouer avec leurs problèmes les plus difficiles. […] Partout où l’on jouait publiquement du Brahms, il s’empressait d’accourir. […] Si souvent qu’ils les aient jouées, ils reviennent toujours avec joie à ses grandes œuvres symphoniques.