Lamartine a dit, en parlant du souffle de la poésie : Ce vent qui sur nos âmes passe, Souffle à l’aurore ou souffle tard ; Il aime à jouer avec grâce Dans des cheveux qu’un myrte enlace Ou dans la barbe du vieillard.
Lamartine a dit, en parlant du souffle de la poésie : Ce vent qui sur nos âmes passe, Souffle à l’aurore ou souffle tard ; Il aime à jouer avec grâce Dans des cheveux qu’un myrte enlace Ou dans la barbe du vieillard.