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98. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Et c’était des trépignements de joie ! […] où est le comédien qui renonce tout à fait à ses joies, à ses transes, à ses délires ? […] Quelle profusion presque insensée de joies, de paradoxes, de divertissements, de poésies de tout genre ! […] Il a ri d’un rire intrépide, il s’est abandonné sans réserve, à sa joie et le plus souvent cette joie est une gaîté convulsive. […] Une fois bénis, les voilà mariés, et vive la joie !

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