Nulle part au monde on n’éprouve autant de plaisir ni autant de joie. […] Sans doute il ne dissimule point la joie qu’il eut de ce triomphe, mais j’y vois précisément l’effet de sa modestie : c’était si inespéré qu’il avait peine à y croire. […] Il savoure pleinement les joies, si touchantes, de la destruction. […] La joie est brève, et l’attrait de la vie immense ne permet point de s’attarder à l’amour. […] Maurice Barrès, on éprouve une sorte de joie délicate, dépouillée, choisie.