Tout passage de la maladie à la santé évoque, en effet, la joie. […] Nui doute ne demeure plus au fond de son être renouvelé par la joie de vivre. […] Il faut au prêtre une dose peu commune d’orgueilleuse illusion et de fière ignorance pour s’estimer capable, lui, pauvre être malade et inquiet, de dominer la vie et les vivants, dont les douleurs et les joies lui demeurent inconnues. […] Le monde devrait accueillir avec indulgence et joie les égarés qui lui reviennent. […] N’en ressens-tu pas de la joie ?