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1117. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mars 1886. »

L’admirable ouverture qui maintenant fait la joie de nos concerts fut enterrée sous les ricanements ; Richard Wagner connut chez nous toutes les blessures sans avoir récolté une seule satisfaction d’orgueil ; il ne pouvait pas aimer Paris et il le détestait. […] Sifflée pendant des années chez le brave Pasdeloup, la musique de Wagner fait maintenant la joie du Conservatoire et dit public de MM. 

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