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11. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « I — L’art et la sexualité »

C’est à ce travail qu’il consume peu à peu son existence en précieuses voluptés intellectuelles dont témoignent les rides prématurées d’un visage que n’éclaira jamais aucun rayon de saine joie.‌ […] L’être entier, d’abord illuminé par une espérance de joie sexuelle, s’obscurcit bientôt lorsque cette joie lui est refusée. […] La joie, la radieuse prospérité reposent en tout. […] Mais, plus intéressants encore sont les chapitres qui suivent et où l’auteur, après avoir exposé les avantages théoriques de la continence, s’efforce de nous en démontrer les avantages pratiques, « Certes, dit-il, c’est un grand sacrifice que de renoncer aux joies de la paternité. […] Nommez-les héros, cette appellation leur convient, mais ce sont à coup sûr des héros sans joie.

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