Je regrette le passé effervescent où la jeunesse effervescente se ruait à l’assaut des hiérarchies et de l’art en place. […] Et peut-être vaudrait-il mieux laisser les jeunes à leur jeunesse, à l’espoir, à l’ambition, à l’orgueil et à toutes les difficultés ou se trempe le caractère, — et que l’on ne surmonte pas avec quelques pièce de cent sous hasardeuses. […] Je l’aime aussi, mais en le lisant je ne me suis pas senti meilleur et si son œuvre est la plus forte, elle n’a pas la divine jeunesse du Grand Meaulnes, elle est trop faite.