Ô vous qui reniez le Dieu de la jeunesse Et qui croyez pouvoir, sans qu’un jour il renaisse, Enfermer au tombeau l’immortel tant aimé !
Ô vous qui reniez le Dieu de la jeunesse Et qui croyez pouvoir, sans qu’un jour il renaisse, Enfermer au tombeau l’immortel tant aimé !