L’abbé de La Roque dédie son livre, qu’il appelle un « monument de famille », à sa mère, la baronne de La Roque, encore existante et qui est assez âgée elle-même pour avoir connu dans son enfance et sa première jeunesse la veuve de Louis Racine, sa bisaïeule. […] Il nous le montre entraîné dès sa jeunesse, et malgré la défense de Boileau, par une vocation irrésistible ; il veut rimer et il rimera. […] J’ai connu dans ma jeunesse un aimable et vieux professeur de l’Université dont le fils, militaire brillant et déjà colonel, fut tué à Waterloo.