. — Mais je n’ai pas voulu passer sans te voir, Kobus ; je viens te chanter mon chant d’amour, mon premier salut au printemps. » Tout cela, le violon de Iôsef le disait, et bien d’autres choses encore, plus profondes ; de ces choses qui vous rappellent les vieux souvenirs de la jeunesse, et qui sont pour nous… pour nous seuls.