Je me rappelle encore l’impression que j’éprouvais invariablement, depuis ma jeunesse, au début de toutes ces histoires de la Grèce, quand je les rouvrais par hasard : une incertitude, un vague, un dégoût, l’absence de toute donnée positive et de tout point d’appui au milieu de ces brouillards dorés et de ces nuages. […] mais la jeunesse sait nous enflammer, et nous aimons mieux regarder le poëme comme un tout, le sentir comme un tout avec délices. » Il disait encore, mais cette fois en prose et en cherchant à se rendre compte à lui-même de cette réaction involontaire, de ce va-et-vient dans ses impressions : « Parmi les livres qui m’occupèrent (1820), je citerai les Prolégomènes de Wolf.