Madame de Genlis, c’est elle qui nous le dit, avait un jeune et aimable sigisbée, M. de Mouliers ; chacun de ses pas dans cette terre classique était marqué par une conquête. […] De retour à Paris, madame de Genlis s’occupe enfin de l’éducation des jeunes princesses qui lui sont confiées ; et plus tard le duc de Chartres lui remet aussi celle de ses fils.