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645. (1929) Les livres du Temps. Deuxième série pp. 2-509

A ce propos, il serait intéressant que quelque jeune bibliographe érudit, quelque disciple de M.  […] Voilà qui fait honneur au jeune élève de Fénelon. […] C’est peut-être qu’il est resté jeune. […] Lorsque Taine écrivait : « Ce jeune M.  […] En littérature, on peut rester un « jeune » beaucoup plus tard.

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