Et vous, messieurs les Italiens, avez-vous servi votre jeune princesse ? […] N’entendez-vous pas ces jeunes désespérés qui demandent le pain quotidien, et dont personne ne paye le travail ? […] Je suis sûre que c’est le jeune monsieur qui demeure ici depuis trois mois. […] Il est certain que cette jeune femme ne m’aimera jamais. — Eh bien ! […] … Les jeunes Normands !