La princesse Charlotte, jeune, mince, grêle, flexible comme un roseau qui n’a pas encore ses nœuds, était plus semblable à un enfant qu’à une jeune femme. […] Il fut jeune ; la mort l’en punit : c’était une grande dureté du destin. […] Mais figurez-vous la situation de cette jeune veuve qui vient de faire une perte si cruelle ! […] Vous me demandez pourquoi ce jeune prince Napoléon se trouvait avec les insurgés. […] Nul doute, cependant, qu’une réminiscence de la princesse Charlotte ne se retrouve dans le charmant visage de la jeune mère.