Prenez un groupe de jeunes écrivains, vingt, trente, cinquante, et suivez-les dans la vie. […] Donc, pour moi, la question des jeunes n’existe pas. […] C’est aux puissantes études de la nature et de l’homme que vu notre jeune littérature. […] L’aîné devenu à la fois le père et le maître du plus jeune. […] Je vais plus loin, je supplie les jeunes romanciers de faire une réaction contre nous.