Il dit à Constance : « L’athlète des jeux olympiques, jaloux de vaincre, et veillant sur lui-même, s’interdit tous les plaisirs qui pourraient l’énerver ; et le prince qui est, pour ainsi dire, l’athlète de l’univers, ira-t-il se livrer à de lâches voluptés ? […] Ils s’occupaient de leur parure, et ils négligeaient l’univers ; peut-être même avaient-ils grand soin de choisir leurs chevaux, mais point du tout les hommes qu’ils destinaient aux places ; et tandis qu’aux jeux, du cirque ils n’auraient pu souffrir de voir des cochers conduire un char, ils abandonnaient à des hommes sans choix les rênes de l’empire et la conduite des nations.