Plusieurs détails complémentaires sont indispensables pour montrer dans leur exactitude les lignes de la chair et pour faire comprendre le jeu complexe de cette physionomie si une et si étrange. […] Son scepticisme à cet égard est tel qu’il se faisait un jeu de laisser passer sous son nom dans La France littéraire des articles dont il ne connaissait ni les termes, ni l’esprit. Jeux de prince… mais la moralité du fait n’en subsiste pas moins : quant à son exactitude, ce n’est pas lui, certes, qui peut y contredire.)