L’histoire, où ces éléments ne sont pas moins en jeu, ne lui semblait pas se prêter aussi bien à fournir la base de l’interprétation rêvée : elle précise trop les caractères et les faits, en même temps que les événements y sont trop fortuits et ne naissent pas des données psychologiques et morales, tandis que les mythes et les légendes, n’étant que l’incarnation d’idées et de sentiments, subordonnent nécessairement les événements à ces données mêmes. […] Revenez à d’autres pensées : Allons dans ma chambrette, Et jouissons du noble jeu d’amour ! […] Il y a ici un jeu de mots inutile à reproduire sur le nom du derviche.