Un refus du ministre de la guerre jeta Franceschi dans la cavalerie, et quoique une organisation douée comme la sienne eût été partout à sa place, il dut à ce contre-temps de se trouver lancé dans la voie d’une vocation qui lui était plus spéciale. […] On dut remonter et traverser l’Alagon, rivière assez considérable qui se jette dans le Tage, et ce n’est qu’au-delà qu’on risqua le passage du fleuve même. […] Je ne pus me contenir, je me jetai à son cou, je sanglotais, et j’y serais resté longtemps si nos malheureux camarades ne fussent venus m’en arracher.