/ 2421
408. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIIe entretien. Balzac et ses œuvres (2e partie) » pp. 353-431

Si le Parisien leur jetait en souriant une dédaigneuse affirmation, ils se regardaient en hochant la tête d’un air d’incrédulité. […] ” Son exclamation était toujours suivie d’un regard indéfinissable que lui jetait la vieille servante. […] » À cette pensée, elle jetait à sa mère des regards flamboyants de courage. […] Pardieu, tu auras jeté notre fortune aux pieds de ce va-nu-pieds qui a des bottes de maroquin. […] Au regard que jeta son mari sur l’or, Mme Grandet cria : “Mon Dieu, ayez pitié de nous !

/ 2421