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321. (1861) La Fontaine et ses fables « Première partie — Chapitre II. L’homme »

Il faut lire le récit du trouble où le jeta certaine visite. […] Je vous en fais juge : sans parler d’autres merveilles sur lesquelles M. d’Hervart m’obligea de jeter la vue. » Ici perce la pointe de gaieté sensuelle ; mais il revient et ajoute avec une grâce charmante : « Si cette jeune divinité qui est venue troubler mon repos y trouve un sujet de se divertir, je ne lui en saurai point mauvais gré. […] A vingt ans, la lecture de quelques livres pieux l’avait jeté au séminaire.

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