Il paraît que la forme poétique et versifiée de cette langue alors consistait principalement dans la répétition ou dans l’écho de la même pensée, se retrouvant dans la même phrase, à peu près dans le même nombre de mots, de manière à se faire consonance à elle-même, comme l’écho fait consonance au cri qu’on lui jette. […] En les lisant, on entend d’ici le chœur ou le peuple, auquel on jette le refrain, qui le reçoit sur les lèvres et qui le faire retentir en le prolongeant jusqu’au ciel.