« Il jette des cris désespérés dans les profondeurs. […] « La mer, c’est l’inexorable nuit sociale où la pénalité jette ses damnés. […] Fantine meurt dans la nuit ; cette mort jette plus de désordre encore dans la tête de M. […] On ne pouvait croire que ce fût cet homme qui eût jeté ce cri effrayant. […] Cette parole du dédain titanique, Cambronne ne la jette pas seulement à l’Europe au nom de l’empire, ce serait peu ; il la jette au passé au nom de la révolution.