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10. (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (3e partie) » pp. 5-79

« Il jette des cris désespérés dans les profondeurs. […] « La mer, c’est l’inexorable nuit sociale où la pénalité jette ses damnés. […] Fantine meurt dans la nuit ; cette mort jette plus de désordre encore dans la tête de M.  […] On ne pouvait croire que ce fût cet homme qui eût jeté ce cri effrayant. […] Cette parole du dédain titanique, Cambronne ne la jette pas seulement à l’Europe au nom de l’empire, ce serait peu ; il la jette au passé au nom de la révolution.

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