Il fallait craindre en effet que le plaisir de tout comprendre ne dégénérât en cette espèce d’épicurisme intellectuel qu’on appelle du nom de dilettantisme — ce qui est un peu le cas de Mme de Staël ; — et il fallait craindre surtout que la critique Systématique des beautés, se réduisant à l’aveu des préférences personnelles du critique, n’entraînât peut-être la recherche des lois de l’art dans le même discrédit que les règles.