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595. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Beaumarchais. — III. (Suite et fin.) » pp. 242-260

On racontait alors de Beaumarchais et de sa vie intérieure mille singularités vraies ou fausses, mais qui visaient au scandale ou au ridicule : celle-ci, par exemple, qui est assez piquante, et que je donne pour ce qu’elle vaut : Beaumarchais a une pantoufle en or clouée sur son bureau, c’est celle de sa maîtresse ; avant de travailler, il la baise, et cela l’inspire. — Il embrasse tout et se croit propre à tout. […] Il s’était remarié en effet, le 8 mars 1786, à Marie-Thérèse-Émilie Willermawla, et il avait droit désormais de dire, en terminant son troisième Mémoire contre Kornman : Ces débats ne troublent plus la paix de mon intérieur.

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