Ces témoignages nous prouvent que dès le xive siècle au moins on croyait que la Sibylle habitait l’intérieur de la montagne qui porte son nom, et qu’elle y régnait sur un « paradis » souterrain, où l’on pouvait pénétrer, mais d’où l’on avait grand-peine à sortir, et où l’on rentrait parfois, malgré l’énormité du péché, tant étaient grandes les voluptés dont on y avait joui.