L’éloge funèbre de Henriette d’Angleterre ne présente ni de si grands intérêts, ni un tableau si vaste : c’est un pathétique plus doux, mais qui n’en est pas moins touchant. […] D’ailleurs les hommes ordinaires n’ont point de trône à perdre ; mais leur intérêt ajoute à leur pitié, quand un exemple frappant les avertit que leur vie n’est rien.