De même les Récits de l’histoire romaine au cinquième siècle, que l’auteur eût mieux fait d’appeler Récits goths et ostrogoths, car l’intérêt barbare y dévore l’intérêt romain comme l’intérêt de la vie dévore l’intérêt de la mort, ces Récits à immenses contrastes pouvaient être pour le moins aussi terriblement et aussi pittoresquement sauvages que ces Récits mérovingiens, la meilleure gloire de M.