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406. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

L’adversité, qui, dans le même temps, menaçait les intérêts politiques du roi, concourut puissamment à arrêter l’essor du poète, devant le changement des mœurs de la haute société. […] Quand on a lu avec intérêt les lettres de madame de Sévigné, on peut concevoir que quelque chose rem péchait de se laisser aller au pathétique des premiers ouvrages de Racine, excepté à celui d’Andromaque. […] Leurs intérêts et ceux de madame de Sévigné étaient liés, leurs goûts étaient communs. […] Mais c’est une politesse que madame de Sévigné a cru devoir à son cousin, en reconnaissance de l’intérêt qu’il témoignait pour La Fontaine, par pure courtoisie pour elle.

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