Les derniers moments Ainsi que nous le faisions prévoir hier, Émile Augier, s’est éteint, l’avant-dernière nuit, à deux heures cinquante du matin, sans avoir un seul instant repris connaissance. […] Par instants, des spasmes convulsifs l’agitaient ; puis la respiration cessait, le pouls s’arrêtait, on eût cru que la vie s’était retirée de l’illustre agonisant.